Le commerce en ligne est désormais bien ancré dans les comportements d’achat des Français : 8 sur 10 y ont recours au moins une fois par an. Bien plus qu’une forme de commerce par correspondance, la vente en ligne sur Amazon est d’abord saluée par 8 Français sur 10 pour le large choix de produits proposés, de même qu’un Français sur deux considère qu’il peut obtenir un meilleur rapport qualité-prix sur Amazon. Les utilisateurs motivent notamment leurs achats sur Amazon par les garanties apportées, tant du point de vue de la diversité de l’offre, que de la rapidité de livraison ou encore de la facilité pour commander.
Issus d’une enquête réalisée courant janvier 2023 par IFOP auprès d’un échantillon représentatif de la population française, ces résultats montrent également une complémentarité désormais bien établie entre boutique en ligne et commerces physiques : 70% des Français qui effectuent des achats en ligne fréquentent aussi les magasins physiques. Parmi les clients Amazon, ce chiffre s’élève même à 75%.
Un facteur de réduction de la fracture entre zones rurales et urbaines
Au-delà des prix, de la diversité de l’offre et de la qualité des services, le commerce en ligne est aussi un atout pour le développement durable, tant du point de vue écologique que de la disponibilité d’une offre égalitaire en termes d’accès et de prix.
« De fait, le commerce en ligne agit comme un véritable trait d‘union entre la France rurale et urbaine », souligne Flora Baumlin, Directrice de recherche à l’IFOP. « Les zones rurales achètent plus volontiers des produits vestimentaires, high tech ou des livres en ligne parce que ces produits sont les moins accessibles dans les magasins et commerces de proximité. De la même façon, et alors que l’offre de produits frais et d’épicerie fine est beaucoup moins développée en ligne, 35% des Français ont déjà acheté en ligne des produits de producteurs de leur région et c’est particulièrement le cas des urbains, plus éloignés des producteurs régionaux ».
Rapprocher consommateurs et producteurs
Lancée en 2018, la Boutique des Producteurs d’Amazon a été précisément conçue dans cet esprit de désenclavement et de rapprochement entre des producteurs héritiers d’un savoir-faire authentique et des consommateurs soucieux d'une alimentation plus saine et plus responsable.
Libérés des contraintes marketing, financières et technologiques, les producteurs valorisent l’excellence de leurs produits en France et hors de nos frontières. Ils restent maitres de leur stratégie commerciale tout en développant leur activité. Depuis son lancement, la Boutique des Producteurs connait un franc succès : plus de 400 producteurs français y proposent plus de 13 000 références-produits.
« Ainsi que le souligne l’enquête de l’IFOP, le numérique est un formidable vecteur de désenclavement. Il ouvre de nombreuses perspectives aux producteurs français et permet de faire rayonner nos incomparables savoir-faire locaux à l’échelle de la France et de l’Europe. La Boutique a été conçue dans l’esprit des circuits courts : elle favorise la mise en œuvre d’une chaîne de valeur où les producteurs sont mieux rémunérés pour leurs produits, en vendant directement au client et au juste prix. Elle permet aussi aux Français d’accéder facilement à une offre de produits en adéquation avec leur manière de consommer », précise Patrick Labarre, Directeur de la Marketplace, Amazon.fr.
Guidé par son obsession client, Amazon a toujours eu à cœur de contribuer au développement économique local, notamment en simplifiant l’accès de la vente en ligne aux PME, artisans et entrepreneurs français. Leur réussite témoigne de cette mobilisation : en 2021, plus de 13 000 TPE et PME françaises vendaient déjà sur Amazon, réalisant plus 600 millions d’euros de ventes à l’export et créant 35 000 emplois pour soutenir le développement de leur activité en ligne.
La présence d’Amazon au Salon International de l’Agriculture - Pavillon Artisanat et patrimoine rural de France, Stand B-001 - marque une nouvelle étape dans la mobilisation d’Amazon au service des savoir-faire français.
Un impact positif sur l’activité des producteurs
Sur le stand de la Boutique des Producteurs, les visiteurs pourront rencontrer des producteurs qui explorent déjà le potentiel du numérique, découvrir des produits d’exception et goûter aux saveurs du terroir français. Charcutiers, fromagers, viticulteurs, distillateurs, producteurs de miel ou encore d’épices rares… expliqueront comment ils ont réussi à développer leur activité en capitalisant sur le numérique.
Très attachée à la notion de circuit court, la boucherie Victor Mazoyer, par exemple, a étendu le rayon d’action de sa boutique physique située à Montélimar à une clientèle régulière partout en France. « Au passage, nous offrons aussi des perspectives de croissance à notre réseau de producteurs et d’éleveurs », souligne le directeur de la société.
Détenteur d’un savoir-faire ancestral en voie de disparition, Pierre Lantuejoul a aussi choisi la Boutique des Producteurs pour relancer la fabrication du Salerac, un fromage élaboré à partir de lait de vache de race Salers qui puise ses origines au cœur des volcans d’Auvergne. « Aujourd’hui, nous réalisons 40% de nos ventes en ligne et nous comptons bien capitaliser sur Amazon pour étendre nos ventes à l’international », indique-t-il.
Selon une enquête menée par IFOP en début d’année auprès d’un échantillon de producteurs de la Boutique des Producteurs d’Amazon, 8 entreprises sur 10 considèrent que la Boutique leur a permis d’étendre la disponibilité des produits au-delà du lieu d’implantation de leur entreprise et les deux tiers estiment qu’elle a contribué à une augmentation de leur chiffre d’affaires de 23% en moyenne. Au passage, le surcroît d’activité a généré de l’emploi : la moitié des producteurs ont recruté une à deux personnes.
Dépasser les freins de la transformation digitale
Satisfaits à 94% par la mise en avant de leurs produits dans la Boutique des Producteurs, les entreprises estiment également qu’elle contribue à la valorisation des circuits courts (88%) et, plus globalement au rayonnement des producteurs français (87%). 8 producteurs sur 10 considèrent aussi qu’elle facilite les activités de vente en ligne, une large majorité saluant le professionnalisme et la simplicité des outils de la Marketplace d'Amazon.fr.
Reste que le développement d’une stratégie digitale ne s’invente pas et près de 1 producteur sur 2 admet qu’il manque de temps et de compétences techniques pour amorcer la transition. 3 sur 10 rencontrent aussi des difficultés de réorganisation et de recrutement de profils techniques. Dit autrement, 1 producteur sur 2 estime avoir besoin d’accompagnement pour développer sa stratégie digitale et se former aux outils digitaux. Près de la moitié (42%) souhaiteraient même une mise en contact avec des prestataires techniques de confiance.
Programme lancé en 2020 par Amazon, l’Accélérateur du Numérique répond précisément aux attentes des producteurs sur tous ces points. Gratuit et accessible à tous, il est soutenu par une cinquantaine d’experts qui contribuent directement au contenu des formations. Au total, le programme propose plus de 150 modules (vidéos courtes, replays, fiches) et des évènements réguliers (webinaires, bootcamps, etc.) qui abordent tous les aspects du e-commerce. En deux ans, plus de 35 000 entrepreneurs français de tous horizons ont profité de L’Accélérateur du Numérique pour digitaliser leur entreprise existante ou lancer une nouvelle activité.
Afin de permettre aux producteurs d’en apprendre davantage sur ce programme, Amazon organisera deux conférences les 25 février et 4 mars sur le stand D069 de la Ferme Digitale, association loi 1901 qui a pour objectif de promouvoir l’innovation et le numérique pour une agriculture performante, durable et citoyenne.
« Offrir de la visibilité aux producteurs en nous installant au Salon International de l’Agriculture est une nouvelle preuve de notre volonté d’accompagner tous les producteurs, artisans, entrepreneurs, TPE ou encore PME dans le développement de leur activité et s’inscrit dans le prolongement de notre engagement en faveur de l’économie française », conclut Patrick Labarre.
