Amazon publie son premier rapport de protection des marques, qui propose une vue d’ensemble des innovations et avancées réalisées pour permettre à ses clients de n’acheter que des produits authentiques sur sa boutique et de protéger les marques et les millions de petites et moyennes entreprises qui y vendent leurs produits.

L’année écoulée a été difficile en raison de la pandémie et nous avons constaté un nombre croissant de tentatives de fraude et d’offres de produits contrefaits de la part d’acteurs malintentionnés au cours de cette période. Nos équipes n’ont cessé d’innover pour protéger notre boutique, aider nos vendeurs partenaires à garder leurs portes virtuelles ouvertes et assurer que la grande majorité de nos clients puissent continuer d’acheter en toute confiance sur notre boutique qui leur offre une large sélection de produits authentiques. Notre Rapport de protection des marques présente pour la première fois une vue d’ensemble des innovations et avancées réalisées dans le cadre de la lutte contre la contrefaçon et je suis fier de partager les progrès de nos équipes.

Les propriétaires de marque ne peuvent pas être sur tous les fronts. Pour les petites entreprises comme Food Hugger, les outils de protection de marque d’Amazon nous permettent de protéger nos marques et nos droits de propriété intellectuelle partout dans le monde.
Adrienne McNicholas, co-fondatrice de l’entreprise Food Huggers

Les éléments clés du Rapport de protection des marques 2020 mettent en avant les importantes innovations et avancées réalisées dans le cadre de la lutte contre la contrefaçon et la protection des clients et des marques :

  • Amazon a investi plus de 700 millions de dollars pour protéger ses boutiques contre la fraude et les abus.
  • Amazon emploie plus de 10 000 personnes pour protéger sa boutique contre la fraude et les abus.
  • Les procédés de vérification d’Amazon ont permis d’empêcher plus de 6 millions de tentatives de création de compte vendeur, stoppant ainsi les acteurs malintentionnés avant même qu’ils ne puissent proposer un seul produit à la vente.
  • Seulement 6 % des tentatives de création de compte vendeur ont passé les procédés de vérification d’Amazon, permettant ensuite de publier des offres.
  • Amazon a saisi plus de 2 millions de produits réceptionnés dans ses centres de distribution, identifiés comme étant des contrefaçons et ce avant qu’ils ne soient envoyés à des clients. Amazon a détruit ces produits pour prévenir toute revente dans la chaîne d’approvisionnement.
  • Amazon a bloqué plus de 10 milliards d’offres présumées contrefaites avant qu’elles ne soient publiées sur son site.
  • Amazon Transparency a permis de protéger plus de 500 millions d’unités de produits.
  • Moins de 0,01 % des produits vendus sur Amazon ont fait l’objet d’une réclamation pour contrefaçon. L’exactitude de ces réclamations a été examinée.
  • Plus de 7 000 petites et moyennes entreprises ont été mises en relation avec des cabinets d’avocats de confiance aux États-Unis et en Europe grâce à l’IP Accelerator. Ces entreprises ont envoyé leur demande d’enregistrement de marque et ont bénéficié d’un accès anticipé aux outils de protection proposés par le programme Brand Registry.
  • Amazon a créé son unité de lutte contre la contrefaçon afin d’instruire des dossiers et de les soumettre aux autorités, de mener des enquêtes indépendantes ou en collaboration avec des marques et d’entreprendre des poursuites civiles contre les contrefacteurs.
L’action conjointe avec Amazon souligne l’importance que représente la protection des droits de propriété intellectuelle pour Ferragamo et la manière dont l’entreprise poursuit sa lutte contre les contrefaçons en toute connaissance de cause et avec détermination.
Micaela le Divelec Lemmi, directrice générale de Salvatore Ferragamo

Le rapport de protection des marques présente la méthode suivie par Amazon pour lutter contre la contrefaçon :

  • Des contrôles proactifs solides. Amazon associe les capacités avancées du machine learning et l’expertise d’enquêteurs afin de protéger sa boutique de manière proactive contre les acteurs malintentionnés et les produits contrefaits. Amazon innove sans cesse afin de toujours avoir un temps d’avance sur ces personnes et leurs tentatives de détournement de ses systèmes de contrôle.
  • Des outils efficaces pour les marques. Les marques connaissent parfaitement leurs produits. Elles connaissent leur logo, leurs modèles et leur propriété intellectuelle de fond en comble. Chez Amazon, nous encourageons les marques à travailler avec nous, et ce à l’aide d’outils comme Brand Registry, Transparency et Project Zero. Ces outils sont fondés sur la technologie avancée d’Amazon et l’expertise de chaque marque dans ses produits. Ensemble, nous pouvons plus efficacement détecter et stopper les contrefacteurs, et mieux protéger les clients et les détenteurs de droits.
  • Tenir les contrefacteurs responsables de leurs actes. Amazon ne cesse d’innover en matière de contrôles proactifs et d’outils pour les marques. Il s’agit d’une lutte continue et la seule manière de mettre fin aux activités de ces acteurs malintentionnés est de les tenir responsables d’un point de vue juridique, par le biais d’actions en justice.

Nous sommes fiers de ce que nous avons accompli en 2020. Amazon continuera d’investir et d’innover afin de protéger les clients, les marques et les vendeurs partenaires. Nous espérons accroître les collaborations avec les marques et les autorités afin de tenir les contrefacteurs responsables de leurs actes.

L’IPR Center joue un rôle essentiel dans la protection de la chaîne logistique mondiale ainsi que de la santé et sécurité du public américain. Or, nos efforts visant à identifier des individus, des entreprises ou des organisations criminelles impliqués dans l’importation illégale de produits contrefaits, à les bannir et à enquêter à leur sujet se voient renforcés grâce à des partenaires comme Amazon. Cette opération conjointe est notre dernière initiative publique-privée en date et elle nous permet d’améliorer encore davantage la sécurité de nos frontières.
Steve Francis, directeur de l’IPR Center