Des millions de Français se demandent : « Combien ai-je dépensé ce mois-ci pour me nourrir, pour ma voiture ou pour mes sorties ? », « Combien ai-je épargné sur les derniers mois ? ». C'est en partant de ce constat que Bruno Van Haetsdaele et Hugues Pisapia, amis, ingénieurs de formation et entrepreneurs de vocation, ont décidé en 2009 de lancer Linxo, une application disponible sur smartphone, tablette ou sur le web, permettant de gérer son argent de manière simple et sécurisée. Linxo regroupe l'ensemble de comptes de l’utilisateur et permet de catégoriser ses opérations financières, en offrant un aperçu de ses dépenses et de son épargne afin de faciliter la prise des bonnes décisions avec son argent.

Lorsque l'on gère les comptes bancaires de plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs, c'est essentiel d'avoir une plateforme robuste. Notre collaboration avec Amazon Web Services nous permet d'envisager l'avenir sereinement.
Bruno Van Haetsdaele

L'idée de Linxo est née quand, en raison de la crise économique, Hugues s'est rendu compte que pour pouvoir réaliser les projets qui lui tenaient à cœur, il lui fallait suivre plus régulièrement ses dépenses. « Je me suis vite aperçu que mes amis et ma famille avaient les mêmes problématiques. J'ai pensé qu'une application de gestion de budget pourrait aider tous ceux en quête d'optimisation financière », explique Hugues. Bruno, qui avait travaillé avec Hugues pendant huit ans dans une autre startup, a décidé de se lancer lui aussi dans l'aventure.

Mobile, automatique, interactif

Linxo a rapidement rencontré son public. « La vraie valeur ajoutée réside dans le fait que l'application permette de regrouper automatiquement tous ses comptes dans un seul service, accessible depuis tous les terminaux simplement avec une connexion Internet », précise Bruno. Le budget et l'épargne de l'utilisateur sont calculés automatiquement et présentés grâce à des graphiques interactifs.

Linxo offre aussi un service de notifications régulières qui s'est déjà avéré utile: « Par exemple, la banque de l'un de nos utilisateurs lui avait retiré près de 10 000 euros de son compte par erreur ! Il s'en est rendu compte grâce à une alerte du service Linxo et a pu rectifier la situation rapidement ».

Objectif : sécurité et disponibilité 24h sur 24

« Nous utilisons Amazon Web Services (AWS) afin de garantir l'expérience de nos utilisateurs et de limiter nos coûts en infrastructure IT ». En effet, Linxo a choisi AWS afin de pouvoir déployer rapidement ses serveurs, sans investissement initial important et en bénéficiant d'une grande flexibilité tant en terme de capacité qu'en terme de tarification. « La flexibilité de l'hébergement dans le cloud nous permet de gérer les pics d'activités liés à nos campagnes de communication, comme celle qui a propulsé Linxo dans le top 5 de l'AppStore en 2013, générant ainsi plusieurs dizaines de milliers de téléchargements en trois jours. Grâce à l'infrastructure AWS, nous pouvons absorber ces pics de charge avec un budget additionnel d'à peine quelques dizaines d'euros ! », s'enthousiasme Bruno.

Il est aussi indispensable pour Linxo d'avoir un service qui assure la sécurité des centaines de milliers de comptes synchronisés avec 120 banques. « Nous avons une grande responsabilité auprès de nos utilisateurs. L'infrastructure AWS est certifiée sur des normes de sécurité très exigeantes et nous avons pu développer un niveau de sécurité équivalent aux sites bancaires », explique Bruno.

Depuis son lancement, l'application a été téléchargée plus de 500 000 fois et Linxo ne compte pas s'arrêter là. « Ce qui nous fait vibrer c'est de faire progresser le service proposé aux clients et les aider chaque jour à optimiser leurs dépenses », explique Bruno. Leur prochain projet ? Développer plus de fonctionnalités et faire découvrir Linxo à un public encore plus large.

« Lorsque l'on gère les comptes bancaires de plusieurs centaines de milliers d'utilisateurs, c'est essentiel d'avoir une plateforme robuste. Notre collaboration avec AWS nous permet d'envisager l'avenir sereinement », conclut Bruno.